Droit aux intérêts sur les importations, les exportations et les droits antidumping injustifiés

Summary
The Court of Justice of the European Union (Second Chamber) ruled that the EU law principles ensuring the right to repayment of wrongly levied sums and payment of corresponding interest apply broadly to various levies and penalties, including import duties, anti-dumping duties, late export refunds, and wrongful financial penalties. A person's right to interest arises whenever a national authority acts based on an incorrect interpretation or application of EU law — whether involving errors of law or fact — and this finding can be established by a national court. Furthermore, EU law strictly precludes national rules that limit the payment of compensatory interest only to the period following the initiation of legal proceedings, as compensation must cover the entire duration the funds were unavailable to the claimant.
3 Key Takeaways
• Expanded Scope of Financial Rights: The general principle requiring the recovery of sums paid but not due applies not only to traditional taxes or customs duties but also explicitly extends to financial penalties wrongly imposed and to export refunds that were wrongfully refused and paid late, ensuring the recipient receives interest compensation in all these situations.
• "Breach of EU Law" Defined Broadly: The condition for entitlement to interest — a breach of EU law — occurs whenever a national authority makes an incorrect interpretation or incorrect application of EU law, including errors of law or fact (such as misclassifying goods or misinterpreting refund requirements). This breach does not need to be established solely by the EU courts but can be found by a national court.
• Interest Must Cover the Full Period of Loss: The payment of interest must effectively compensate the person for the loss sustained due to the unavailability of the funds, which requires interest to accrue over the entire period from the date the money was wrongly paid/refused until the date of repayment/payment. Consequently, national legislation (such as German law) that restricts interest payments only to the period following the initiation of legal proceedings is incompatible with EU law.
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Les trois affaires jointes illustrent des litiges entre des entreprises allemandes et des autorités douanières nationales concernant le remboursement de restitutions à l'exportation, de droits antidumping et de droits à l'importation. En outre, ces affaires portent sur la question de savoir si des intérêts sont dus pour la période au cours de laquelle les sommes ont été indûment retenues ou imposées.
Étant donné que la fusion ou la jonction d'affaires n'est pas une pratique courante, le contexte de chaque affaire, ainsi que la conclusion de la Cour et les raisons pour lesquelles elle les a jointes, offrent une perspective unique sur la façon dont la Cour aborde les affaires qu'elle traite et sur la manière dont elle interprète la législation de l'UE.
Contexte des affaires
La fusion des affaires étant une exception plutôt qu'une règle, il convient, pour comprendre les questions clés, d'examiner le contexte des trois affaires et d'identifier leur contenu commun, qui a conduit à la décision de la CJCE de les fusionner en une seule affaire et de rendre un arrêt unifié.
Affaire 1 : Affaire C-415/20 - Gräfendorfer/Office des douanes de Hambourg
La première affaire oppose Gräfendorfer, une entreprise allemande qui exporte des carcasses de volaille, à l'Office des douanes de Hambourg, qui a rejeté la demande de restitutions à l'exportation présentée par l'entreprise pour des envois effectués entre janvier et juin 2012. La principale raison du rejet de la demande de remboursement et de l'imposition d'une pénalité à l'entreprise était l'affirmation du bureau des douanes selon laquelle la volaille ne répondait pas à la norme de qualité loyale et marchande prévue par les règles de l'UE en matière de restitutions à l'exportation.
Toutefois, comme le tribunal des finances de Hambourg s'est appuyé sur un arrêt antérieur de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE), qui avait statué, dans le cadre d'une procédure indépendante, que la présence de quelques plumes et abats n'excluait pas les carcasses de volaille du bénéfice des restitutions à l'exportation, le bureau des douanes est revenu sur sa position antérieure, a accordé les restitutions à Gräfendorfer et lui a remboursé la pénalité.
Néanmoins, en 2015, la société a demandé des intérêts sur les sommes remboursées et la pénalité remboursée pour la période pendant laquelle elle a été privée de ces sommes, ce que le bureau des douanes a refusé et a rejeté le recours administratif qui s'en est suivi.
À la suite de cette décision, la société a introduit, en 2018, un recours devant la Cour des finances de Hambourg, en faisant valoir que le droit de l'UE accorde aux particuliers le droit de réclamer non seulement le remboursement des sommes retenues ou imposées à tort par les autorités nationales en violation du droit de l'UE, mais aussi des intérêts pour toute la période pendant laquelle ils ont été privés de ces sommes. La Cour des finances a noté que ni le droit de l'UE ni le droit national allemand ne fournissent explicitement une base juridique pour une telle demande d'intérêts, ce qui signifie que la question doit être examinée à la lumière des principes établis dans la jurisprudence de l'UE.
En examinant plus avant les faits de l'affaire, la Cour des finances a déterminé que le droit de l'UE reconnaît le droit à des intérêts à titre de compensation lorsque des taxes, impôts, prélèvements ou droits sont payés en violation du droit de l'UE, ajoutant que l'un des montants en litige en l'espèce n'était pas une taxe ou un impôt, mais une pénalité financière. Cette décision a soulevé la question de savoir si le remboursement d'une telle pénalité devait également inclure des intérêts.
En raison de l'absence de jurisprudence européenne et du fait que le droit allemand ne reconnaît pas les intérêts comme un droit général, mais seulement dans des situations étroitement définies, la Cour des finances a jugé nécessaire de renvoyer l'affaire à la CJCE pour qu'elle précise si le droit européen exige des intérêts dans des cas tels que celui de Gräfendorfer.
Affaire 2 : Affaire C-419/20 - Reyher contre Bureau des douanes de Hambourg
À l'instar de la première affaire, la seconde concerne une société basée en Allemagne, Reyher, et le bureau des douanes de Hambourg. En 2010 et 2011, l'entreprise a importé des pièces de fixation d'un fournisseur indonésien, filiale d'une entreprise chinoise. Après avoir examiné les documents douaniers, le bureau des douanes a classé les éléments de fixation comme étant originaires de Chine et a appliqué les droits antidumping établis par le règlement de l'UE n° 91/2009, obligeant Reyher à payer les taxes correspondantes.
Bien que l'entreprise ait payé les droits imposés, elle a également contesté la décision devant la Cour des finances de Hambourg. Cette dernière a statué en faveur de l'entreprise, déclarant que le bureau des douanes n'avait pas prouvé que les marchandises étaient originaires de Chine. Par conséquent, les droits antidumping n'étaient pas légalement dus. En conséquence, en mai 2019, le bureau des douanes a remboursé à Reyher les droits payés, mais n'a pas payé d'intérêts sur le montant remboursé pour la période pendant laquelle les fonds n'étaient pas disponibles.
Cela a conduit Reyher à engager une action en justice devant la Cour des finances de Hambourg en février 2020, en faisant valoir qu'en vertu du droit de l'UE et de la jurisprudence, toute personne à qui des droits antidumping ont été illégalement imposés a droit non seulement au remboursement de ces droits, mais aussi à des intérêts couvrant toute la période allant du paiement au remboursement.
La Cour des finances a interprété le droit communautaire et le droit allemand, en déterminant qu'il n'existe pas de dispositions applicables qui prévoient des intérêts pendant la période qui s'écoule entre l'imposition des droits et l'ouverture d'une procédure judiciaire. Toutefois, une question est restée en suspens : le droit communautaire oblige-t-il les autorités nationales à verser des intérêts pendant toute la durée qui s'écoule entre le paiement illégal des droits antidumping et leur remboursement éventuel, même lorsque la législation nationale limite ce droit à une période plus courte ?
Affaire 3 : Affaire C-427/20 - Flexi / Bureau des douanes de Kiel
Flexi, une société allemande qui importe des crochets à boulon utilisés dans la production de laisses pour chiens, est une autre société impliquée dans un litige concernant le classement tarifaire approprié de ses produits. Contrairement aux deux cas précédents, Flexi n'était pas d'accord avec le bureau de douane de Kiel, qui a estimé que les crochets à boulon devaient être classés sous une autre position de la nomenclature combinée que celle déclarée par l'entreprise, ce qui a entraîné des droits à l'importation plus élevés.
L'entreprise a entamé une procédure judiciaire à ce sujet en 2014, qui a abouti à un arrêt de la Cour fédérale des finances en 2017, confirmant que Flexi avait correctement classé les produits. En outre, la Cour a annulé les évaluations du bureau de douane. Comme dans les deux autres cas, le bureau des douanes a refusé d'accorder des intérêts sur le montant remboursé pour la période comprise entre le paiement des droits contestés et leur remboursement final.
Flexi a engagé une autre procédure judiciaire, qui a abouti au paiement d'intérêts par le bureau de douane, mais uniquement pour la période allant de la date à laquelle la société a engagé cette procédure jusqu'à la date de remboursement. Toutefois, la question de savoir si les intérêts devaient également couvrir la période antérieure, à savoir du paiement initial des droits jusqu'au début de la procédure judiciaire, n'a pas été résolue.
Le tribunal des finances de Hambourg, qui traitait cette affaire, s'est demandé si Flexi pouvait s'appuyer directement sur la jurisprudence de la CJCE pour réclamer de tels intérêts en l'absence de dispositions explicites dans le droit dérivé de l'UE ou dans le droit national allemand.
Principales questions posées dans la demande de décision
En ce qui concerne la première affaire, la Cour des finances de Hambourg a posé deux questions à la CJCE. Dans sa première question, elle a demandé si le droit de l'UE exige également que les pays de l'UE remboursent, avec intérêts, les droits perçus en violation du droit de l'UE dans les cas où le remboursement est déclenché non pas par la Cour qui déclare invalide une disposition du droit de l'UE, mais plutôt par la Cour qui interprète un tarif de la nomenclature combinée différemment de celui utilisé par les autorités nationales.
La deuxième question visait à savoir si les principes développés par la CJCE concernant les demandes d'intérêts s'étendent également aux situations impliquant des restitutions à l'exportation. L'accent a été mis en particulier sur la question de savoir si des intérêts doivent être payés lorsque les autorités nationales ont refusé à tort de telles restitutions en violation du droit communautaire, privant ainsi les exportateurs de fonds auxquels ils avaient droit.
Les questions soulevées dans les deuxième et troisième affaires étaient similaires, mais avec des différences spécifiques. Les deux questions visent à clarifier ce qui constitue une violation du droit communautaire aux fins de la réclamation d'intérêts.
Toutefois, dans la deuxième affaire, il s'agit d'un scénario dans lequel une autorité nationale impose une obligation en vertu du droit communautaire. Dans le troisième cas, il s'agit d'une autorité nationale qui impose une obligation en violation directe du droit communautaire en vigueur et d'une juridiction nationale qui confirme cette violation.
Article de la directive européenne applicable
Dans ces affaires, la CJCE n'a pas examiné les articles et les dispositions de la directive TVA de l'UE. Elle s'est plutôt intéressée aux articles et dispositions pertinents du code des douanes communautaire, établi par le règlement n° 2913/92 du Conseil, que le code des douanes de l'Union a ensuite remplacé par le règlement n° 952/2013. Il s'agit principalement de l'article 236, paragraphe 1, de l'article 241 et de l'article 116. En outre, la CJUE a interprété les dispositions pertinentes du règlement n° 800/1999 de la Commission, remplacé ultérieurement par le règlement n° 612/2009, qui a établi les modalités de ces remboursements.
Règles nationales allemandes
En ce qui concerne la législation nationale allemande, la CJCE a interprété les principales dispositions du code fiscal allemand, qui régit tous les impôts, y compris les remboursements d'impôts européens ou fédéraux gérés par les autorités allemandes, tout en garantissant la conformité avec le droit de l'UE. En outre, elle a également examiné et interprété la loi allemande qui met en œuvre l'organisation commune des marchés et les paiements directs et qui régit les prestations agricoles, y compris les restitutions à l'exportation.
Importance de l'affaire pour les contribuables
Compte tenu de la complexité des procédures d'importation et d'exportation et des conséquences qui peuvent en découler pour ceux qui ne respectent pas les règles et les réglementations, ces affaires revêtent une grande importance pour les assujettis impliqués dans le commerce transfrontalier.
Étant donné que les affaires portent sur certaines des questions clés concernant le droit au remboursement des sommes indûment perçues ou retenues par les pays de l'UE avec intérêts, y compris les sanctions financières imposées, les droits antidumping et les taxes liées à l'importation ou à l'exportation, l'arrêt peut avoir un impact significatif sur les opérations de nombreuses entreprises engagées dans des activités d'importation ou d'exportation.
Analyse des conclusions de la Cour
La CJUE a d'abord fusionné ces trois affaires en 2020, pour la phase écrite de la procédure. Plus tard, en 2021, la même décision a été prise pour la procédure orale et l'arrêt final, ce qui signifie que les trois affaires seront examinées ensemble pendant le reste de la procédure judiciaire. La raison principale de cette décision est que ces affaires se chevauchent dans plusieurs domaines clés.
L'un des premiers points relevés par la CJCE est que le droit communautaire donne à toute personne qui a été invitée par une autorité nationale à payer un impôt, un droit, une taxe ou un autre prélèvement en violation du droit communautaire le droit d'obtenir le remboursement de cette somme. En outre, ces personnes ont le droit de recevoir des intérêts sur la somme afin de compenser la période pendant laquelle l'argent n'a pas été disponible.
Tout comme les impôts et les droits payés en violation du droit communautaire, les pénalités, y compris celles liées aux règles de l'UE sur les restitutions à l'exportation de produits agricoles, doivent être remboursées. La personne concernée a droit à des intérêts pour compenser la période pendant laquelle les fonds n'ont pas été disponibles. En outre, le droit aux intérêts s'applique lorsque les restitutions à l'exportation sont accordées tardivement après avoir été refusées à tort, car le retard lui-même résulte d'une violation du droit communautaire qui a temporairement privé la personne des fonds correspondants.
La CJCE a également souligné que le facteur principal qui sous-tend le droit au remboursement et aux intérêts en vertu du droit de l'UE est l'imposition d'une taxe, d'un droit, d'une charge ou d'un autre prélèvement en violation du droit de l'UE. La violation peut concerner n'importe quelle règle de l'UE, et les droits au remboursement et aux intérêts reflètent un principe général, qui n'est pas limité à des types spécifiques de violations. En outre, le même principe s'applique lorsque la législation nationale ou les actions d'une autorité nationale appliquent mal le droit communautaire.
Ce qui est commun aux trois affaires, c'est que les autorités nationales ont mal appliqué le droit communautaire lorsqu'elles ont imposé ou refusé des paiements, tels que des restitutions à l'exportation, des sanctions financières, des droits antidumping ou des droits à l'importation. La CJCE a ajouté que des interprétations erronées, des erreurs juridiques et des erreurs factuelles ont contribué à l'application incorrecte du droit communautaire.
L'objectif premier du droit aux intérêts est d'indemniser une personne qui a été privée à tort d'une somme d'argent. Alors que les litiges relatifs aux droits de douane dans les affaires Reyher et Flexi sont régis par la législation douanière de l'UE, qui comprend des règles de remboursement, le litige relatif aux restitutions à l'exportation tardives et à une sanction financière imposée à tort dans l'affaire Gräfendorfer est régi par des règles de l'UE qui ne prévoient pas de mécanisme similaire pour le calcul ou le paiement d'intérêts.
En vertu de la législation européenne, le remboursement des droits de douane indûment perçus doit inclure des intérêts. Toutefois, dans aucun de ces cas, la législation européenne ne fixe de règles détaillées pour le calcul des intérêts. La fixation de ces règles est laissée à l'appréciation de chaque pays de l'UE, avec l'obligation de respecter les principes d'équivalence et d'effectivité, ce qui signifie qu'ils ne peuvent pas rendre excessivement difficile ou impossible la réclamation des intérêts dus. La CJCE a noté qu'il en va de même pour les retards de paiement de sommes relevant du droit communautaire, telles que la restitution à l'exportation dans l'affaire Gräfendorfer.
Lorsqu'ils définissent ces règles, les pays de l'UE doivent veiller à ce que la personne reçoive une compensation complète pour la perte causée par le paiement ou le refus injustifié de sommes d'argent. En outre, les intérêts doivent courir sur toute la période allant du moment où l'argent a été payé ou aurait dû être payé au moment où il est effectivement remboursé. Restreindre les intérêts à la seule période postérieure à l'introduction de l'action en justice, en excluant la période antérieure, est incompatible avec le droit communautaire.
Bien que la législation européenne n'exige pas des autorités nationales qu'elles remboursent automatiquement les sommes ou versent des intérêts sans aucune initiative de la part de la personne concernée, les pays de l'UE doivent respecter le principe d'efficacité lorsqu'ils définissent les règles relatives au versement d'intérêts sur les sommes indûment versées ou retenues. Cela signifie qu'il ne doit pas être excessivement difficile ou impossible pour les personnes d'exercer leurs droits.
Toutefois, il appartient aux juridictions nationales de déterminer si la législation nationale respecte ou non ce principe. La CJCE a également noté que les tribunaux nationaux devraient particulièrement mettre en balance des facteurs tels que la protection des droits de la défense, la sécurité juridique, le bon déroulement des procédures et la conformité avec le droit communautaire lorsqu'ils se prononcent sur cette question.
Décision finale des tribunaux
Après avoir fusionné les trois affaires et examiné minutieusement les faits et le bien-fondé de chacune d'entre elles, individuellement et conjointement, la CJCE a statué que le droit de l'UE établit le droit des particuliers au remboursement des sommes indûment imposées par un pays de l'UE et au versement d'intérêts sur ces sommes. Il en va de même pour les restitutions à l'exportation accordées tardivement après avoir été refusées à tort, ainsi que pour les sanctions financières imposées en raison de tels manquements.
Le droit au remboursement s'applique également aux situations dans lesquelles les autorités nationales interprètent ou appliquent de manière incorrecte le droit communautaire lorsqu'elles imposent ou refusent des paiements tels que des restitutions à l'exportation, des sanctions financières, des droits antidumping ou des droits à l'importation.
Enfin, la CJCE a conclu que les règles et règlements de l'UE empêchent les législations nationales de limiter les intérêts à la période qui suit l'ouverture d'une procédure judiciaire. Toutefois, la législation nationale peut exiger une telle procédure tant qu'elle ne rend pas l'exercice des droits de l'UE excessivement difficile.
Conclusion
Le principal enseignement de cet arrêt est que la CJCE a souligné le principe selon lequel le droit communautaire garantit le droit au remboursement et aux intérêts lorsque les autorités nationales agissent en violation du droit communautaire, indépendamment de l'existence ou non de dispositions explicites dans la législation nationale.
Pour les assujettis, cette décision réaffirme le droit de réclamer la pleine compensation des sommes indûment prélevées ou retenues, en veillant à ce que les pays de l'UE respectent les droits de la défense, la sécurité juridique, le bon déroulement des procédures et la conformité avec le droit de l'UE.
Source: Affaires jointes C-415/20 Affaires jointes C-415/20, C-419/20 et C-427/20., Règlement de l'UE n° 91/2009, Nomenclature combinée, Règlement n° 952/2013, Règlement n° 612/2009

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